À la recherche d'un job hors du commun. Ne cherchez plus, la reine Élisabeth II propose le poste de sous-chef de (sa) cuisine. Le palais de Buckingham recrute par petite annonce sur son site internet officiel les candidats au poste jusqu’au 10 mai.
Le nouveau sous-chef aura pour mission de diriger et de former les apprentis cuisiniers à fournir « une nourriture fraîche répondant aux critères de qualité les plus élevés » pour Sa Majesté. Ensuite, le nouveau salarié pourra prendre en charge le fonctionnement des « petites cuisines » et suppléer ses collègues plus expérimentés.
Pour 45 heures de travail hebdomadaires, le salaire proposé s’élève à 23 000 livres, à négocier selon l’expérience. Mais le futur employé doit quand même accepter de passer trois mois loin de Londres dans les autres résidences royales.
Le nouveau salarié royal devra bien évidemment satisfaire à des exigences draconiennes en matière de sécurité et de confidentialité.
Le nouveau sous-chef aura pour mission de diriger et de former les apprentis cuisiniers à fournir « une nourriture fraîche répondant aux critères de qualité les plus élevés » pour Sa Majesté. Ensuite, le nouveau salarié pourra prendre en charge le fonctionnement des « petites cuisines » et suppléer ses collègues plus expérimentés.
Pour 45 heures de travail hebdomadaires, le salaire proposé s’élève à 23 000 livres, à négocier selon l’expérience. Mais le futur employé doit quand même accepter de passer trois mois loin de Londres dans les autres résidences royales.
Le nouveau salarié royal devra bien évidemment satisfaire à des exigences draconiennes en matière de sécurité et de confidentialité.
« To be succesful you will » : les exigences de la couronne
L’annonce est suivie de conseils sur les mentions à indiquer sur son CV pour réussir à décrocher le poste.
Une expérience dans un hôtel 5 étoiles ou un restaurant étoilé est la bienvenue, mais également une compétence pour planifier et développer des menus. Le futur élu doit être pourvu d’une french touch puisqu’il doit détenir de bonnes connaissances de la cuisine traditionnelle française ainsi que des notions linguistiques du « français en cuisine ».
Le sous-chef pourra laisser libre cours à son imagination et faire preuve d’initiative pour étonner la reine. Même si l’un de ses prédécesseurs, Darren McGrady, a révélé l’intérêt de la souveraine pour des plats simples comme les sandwichs, les céréales ou encore les gâteaux mous au chocolat, la reine ne refuse pas de se faire servir des plats plus raffinés. Par exemple, au déjeuner une sole de Douvres meunière sur un lit d'épinards ou encore au dîner du gibier ou du saumon en provenance des domaines royaux.
Un dernier petit conseil : n’oubliez pas de servir à la reine un Dubonnet Coktail avec du gin bien tassé pour qu’elle puisse mieux dormir !
Break a leg !
Une expérience dans un hôtel 5 étoiles ou un restaurant étoilé est la bienvenue, mais également une compétence pour planifier et développer des menus. Le futur élu doit être pourvu d’une french touch puisqu’il doit détenir de bonnes connaissances de la cuisine traditionnelle française ainsi que des notions linguistiques du « français en cuisine ».
Le sous-chef pourra laisser libre cours à son imagination et faire preuve d’initiative pour étonner la reine. Même si l’un de ses prédécesseurs, Darren McGrady, a révélé l’intérêt de la souveraine pour des plats simples comme les sandwichs, les céréales ou encore les gâteaux mous au chocolat, la reine ne refuse pas de se faire servir des plats plus raffinés. Par exemple, au déjeuner une sole de Douvres meunière sur un lit d'épinards ou encore au dîner du gibier ou du saumon en provenance des domaines royaux.
Un dernier petit conseil : n’oubliez pas de servir à la reine un Dubonnet Coktail avec du gin bien tassé pour qu’elle puisse mieux dormir !
Break a leg !